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Voici, qu’après la nuit on cherche les élans,
Qui porteront nos corps, un peu plus lourds et lents,
À chaque jour passé à se taire et se vendre,
En la foire d’empoigne où ce monde est béant.
[...]
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... Et nous restons sans fruit, qu’un rêve en son ouvroir / Comme l’enfant mort-né qu’on appelle l’espoir ...
J’ai jeté, ce matin, une larme au néant,Une larme de plus, noyée en ce méandre :Ainsi, devant l’éther un océan déploreOù, marées, nos chagrins nourrissent une aurore. Voici, qu’après la nuit on cherche les élansQui porteront nos corps, un peu plus lourds et lents
http://www.lesvieilleslettres.com/2018/04/deploration-de-l-aurore.html
La vidéo du jour ... Non, le titre ne renvoie à personne en particulier dans mon esprit ce matin... C'est juste un beau quatuor de trombones ...
Allez, c'est dimanche, une autre vidéo , toujours sans message dans le titre ... Quoique...
Et dans la série jamais 2 sans 3 enfin ... une vidéo pédagogique...

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