Cet article est reposté depuis Les vieilles lettres.
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Je ne suis des aéropages,
Ni des savantes coteries
Non plus de philosophe engeance.
Le temps poète est ta potence,
L’ambitus de tes rêveries
Jongleries aux coins de tes pages.
Le poème entier ici:
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Albert Einstein, (1879-1955)
Le temps n’est qu’un lot de questions, Dans sa moustache Einstein en rit, Le temps n’est tant, n’étant longtemps, Qu'élusive supercherie. Ainsi la lumière voyage, Mouvante épure, à son content, Vers quel univers sans verbiage Vers quels azurs, quels horizons ? Je ne suis des aéropages, Ni des savantes coteries Non plus de philosophe engeance. Le temps po
À lire... sûrement... si j'en crois Erwan:

(Photo : https://www.flickr.com/photos/erwan/1816858054/ )
La vidéo du jour... Guillaume Aldebert bien sûr...
Et puis Françoise Hardy aussi:

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